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Windows 8 - par Webmaster

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TelecityRedbus - par Webmaster

TelecityRedbus est une chaîne de Datacenters (ou "Centres de traitement des données") qui est née suite à la fusion entre Telecity et Redbus Interhouse (créé en 1998 par le fondateur de Demon Internet, Cliff Stanford). Son premier datacenter fut situé dans les Docklands, à Londres.

RedBus Interhouse possède 16 datacenters, répartis dans 8 villes européennes.

RedBus Interhouse permet d'héberger des serveurs et équipements soit dans des baies mutualisées ou non, soit dans une suite privative (zone grillagée ou séparée comportant de nombreuses baies), et accueille plusieurs points d'échange Internet (IXP) permettant aux opérateurs de faire du peering.


En 2006, TeleCity, possédant de nombreux autres Datacenter, et Redbus Interhouse ont fusionné pour devenir le principal fournisseur de services managés en centres d'hébergement.

Sommaire

Liste des Datacenter de TelecityRedbus [modifier]

RedBus possède des Datacenter à :

RedBus Paris Courbevoie [modifier]

Le Datacenter de Redbus situé à Paris Courbevoie héberge de nombreuses sociétés, comme Sivit, OVH, Ornis ... et représente à peu près un tiers de l'internet français.

Ce datacenter a connu deux problèmes électriques majeurs à quelques semaines d'intervalle :

  • Le 28 février 2006, où suite à une erreur humaine le site a subi 2 coupures électriques totales.
  • Le 26 mars 2006, où RedBus a connu une défaillance importante d'une de ses arrivées électriques qui a engendré plusieurs coupures le jour même liées aux bascules de/vers les groupes électrogènes.

Liens internes [modifier]

Liens externes [modifier]


Ciel, mon Ordi ! - par Webmaster

 

Il est partout. Travail, transports, domicile. Ordiscient, ordipotent, ordiprésent.
A tel point qu’à force de le côtoyer, on oublierait presque le culte que l’on voue au Computer. Mais si...
Suivez la voix de Vincent Grégoire, Lifestyle Manager du bureau de tendances Nelly Rodi, et tout s’éclaire ! Peut-être même t’y reconnaîtras-tu, ami lecteur...

Observateur et analyste impénitent, Vincent Grégoire met en avant un double rapport à la Bête. Dans le cadre professionnel, l’ordinateur demeure un objet relativement neutre et fonctionnel tandis qu’ « au domicile, il en va tout autrement  ».
Distinguant « 
la maison des plaisirs, avec la relation aux cinq sens  », et de l’autre « la maison des cérémonies, avec cette recherche des 6e et 7e sens dans la maison  », le tendanceur nous livre un nouveau son de cloche, frappée au clavier...

Crois en toi...

Convaincu que l’affirmation de soi était une tendance lourde et que le phénomène passait par une individualisation croissante au travers du mode de vie et de consommation, « les fabricants ou les opérateurs me disaient il y a quelques années qu’ils voyaient un ordinateur central au centre de la maison combinant les technologies et autour duquel toute la famille graviterait... ce à quoi je leur rétorquais qu’à mon sens, ce serait chacun pour soi : avec chacun son téléphone, son propre ordi... dans une perspective très fortement égoïste. Et c’est bien ce qui se passe : chacun se fait son petit coin avec son ordi, sa TV dans la chambre et possède son propre téléphone mobile.  ».

Personnel, l’ordinateur est aussi secret ; d’une part parce que l’on s’en sert de plus en plus et aussi en raison du caractère « à la limite du clandestin des activités qui y ont trait. Dans une famille, chacun veut son ordi à soi car 9 fois sur 10 on commande des trucs on line qui entraînent une volonté de confidentialité des informations bancaires qui circulent, soit pour pirater de la musique -donc on est à la limite de la légalité, ou encore pour aller sur des sites de charme... ». HA ! Le fruit défendu !

Gloire en sa demeure

Dans l’antre de nos gentilhommières, l’ordinateur « devient un peu comme un petit temple à la maison, une espèce de petite chapelle, qui s’accompagne de rites -initiation, offrandes, décorum, et même d’une gestuelle rituelle. On se met en position, on dispose la tasse sur le côté et les petits accessoires autour... il y a tout un jeu comme ça qui se rapproche assez du rituel religieux.  ».

Plus qu’un amas de puces et de pouces, l’ordinateur auréolé d’une esthétique renouvelée s’éloigne de sa nature fonctionnelle et rejoint la fonction statutaire. Fenêtre ouvrant sur nos âmes, il est une vibrante icône que l’on respecte et craint à l’idée «  qu’il plante (et qu’) on se retrouve déconnecté du monde et un peu perdu  ».

Il se mue alors en une « espèce de dieu qu’il faut amadouer parce que l’on sait que tout va tourner autour de ce poumon de la maison et qu’à certains moments, il faut s’en accorder les bonnes grâces. Il y a une dimension très animiste, comme dans les civilisations primitives où l’on allait mettre des offrandes dans la forêt pour s’attirer la bénédiction des dieux des arbres, des dieux des rivières, etc. Ça devient un bon génie qu’il faut honorer avec des présents et qu’on entoure d’une charge affective très importante car s’il plante, on est super mal...  ».

Et fleurissent les gadgets du croyant : « on lui colle des trucs dessus, pour éloigner les mauvaises ondes, des grigris, des amulettes... c’est très ex voto ; ça fait penser aux petits retables, aux petits autels dans les églises. Alors certes, on ne se prosterne pas devant mais on est mort de trouille à l’idée qu’il bogue, qu’il soit victime d’un virus... Aussi, quand l’aspect technique ne suffit plus, il reste encore la magie noire !  ».

Il sera fait à notre image

« On se dit qu’il est capricieux, qu’il pète les plombs, qu’il fait ce qu’il veut comme il a envie de le faire...  ». L’ordinateur se charge de notre vie et s’anime à son tour. On le personnalise à tel point que « plein de gens lui donnent un nom, y mettent une image en fond d’écran, avec très souvent quelqu’un de vivant. Il y a le besoin de le customiser, de se l’approprier. On passe du standardisé au personnalisé. En l’habillant, le décorant, il devient unique. Les consommateurs sont obsédés par l’idée de la pièce unique, du truc-pour-moi-rien-que-pour-moi, avec cette dimension un peu haute couture et l’attrait de le faire soi-même. ».

A la frontière de l’extension et de l’être à part, l’ordinateur mélange les styles et entretient le flou. « C’est mon meilleur ami, c’est mon confident. C’est plus qu’une prothèse, c’est en effet le prolongement de soi mais en même temps on aime bien que de temps en temps on puisse lui attribuer une vie propre, on est fasciné par l’idée qu’il puisse de temps en temps faire preuve d’autonomie, qu’il échappe à la notion de contrôle, même si on est profondément emmerdé... ça prouve qu’il y a de la vie, une forme d’intelligence à l’intérieur...  ».

L’ordinateur se pare alors selon les goûts de son propriétaire, toujours à la limite de l’être animé et de l’autel comme en témoignent les «  bijoux pour ordinateurs. Plus répandus en Asie qu’en Occident, ils essaiment au Japon ou en Corée où je suis toujours fourré. Par exemple, il existe des petits éléments pour décorer les touches de l’ordinateur, des petites choses qui s’accrochent à l’écran -un os coupé qui donne l’impression d’avoir été planté dans l’écran et au bout duquel pend un petit chien, plein de petits trucs comme ça qui sont autant de boules sur le sapin ! Je crois que c’était le designer Marti Guixe qui avait conçu des cache-touches de clavier, en or ou en plaqué or, je ne sais plus... c’est dire ! Ou des petits anges en plastique phosphorescents qui agitent les ailes de temps en temps pour éloigner les virus... Toute une flopée de petits gadgets à la limite du kitsch.  ».

La quête de sens

Contre ce plein de vide qui emplit trop fréquemment nos vies, on recherche du sens « au travers de ce que l’on va chercher avec l’ordinateur : de la vie, de l’amour, du renseignement. Il y a cette dimension sensible dans le geste et le rapport à l’ordinateur. On met de l’humain sur ce qui n’était que du service ou de la technique au départ.  ».

Alors, si l’on se dit que nul n’échappe à la divine Loi, on peut aussi se sentir concerné... Là, votre rédacteur prend conscience que son PC se prénomme Helmut et qu’il doit en aller de même avec notre interviewé. Lequel ne se confesse qu’à moitié, puisqu’il s’agit en effet d’ « un nom un peu cochon (rires) ! Oui, c’est plus rigolo... Un prénom ce n’était pas assez... mais je ne peux pas le dire : c’est aussi mon mot de passe, alors vous comprenez...  ».
Bien sûr que nous comprenons. Car vous qui lisez, de quel nom avez-vous baptisé votre sainte machine ?


smileys/biggrin.gifLarousse met en ligne une encyclopédie gratuite - par Webmaster

Larousse met en ligne une encyclopédie gratuite et contributive

Menacé par Wikipédia, Larousse contre-attaque sur Internet. Explications avec Vivien Chantepie, son responsable multimédia.
01net. : L'encyclopédie Larousse a longtemps été un ouvrage de référence et, pourtant, elle était jusqu'ici indisponible en ligne. Que s'est-il passé ?

Vivien Chantepie : La grande encyclopédie a disparu dans son format papier depuis la fin de la vente par courtage, il y a une dizaine d'années. Elle est revenue sur le marché en 2000, avec le CD et le DVD [toujours en vente entre 30 et 60 euros, NDLR]. Mais ces derniers temps, les ventes faiblissaient, on peut trouver à cela une explication simple : la croissance de la consultation du savoir encyclopédique sur Internet, et notamment - bien évidemment - sur un site comme Wikipédia. Aujourd'hui avec la mise en ligne de l'encyclopédie contributive Larousse [avec un contenu similaire à celui de la version DVD, NDLR], nous franchissons un nouveau cap.
Que proposez-vous aux internautes ?

Il faut bien comprendre que l'explosion des encyclopédies en ligne correspond à une forme de décloisonnement du savoir. En clair, si auparavant le contenu d'une encyclopédie était décidé par un comité de rédaction, tout cela doit être aujourd'hui repensé. Car les besoins du public, et des internautes, ne sont plus forcément les mêmes. C'est la raison pour laquelle nous avons fait le choix d'une encyclopédie mixte.

D'un côté, nous proposons en accès libre la grande encyclopédie Larousse, soit 170 000 articles et 10 000 fichiers médias (animations, photos, dessins) [pas de vidéos, NDLR], avec un rythme d'actualisation quotidien [Wikipédia revendique plus de 657 000 articles en français, NDLR].

De l'autre, Larousse fait appel à la connaissance des internautes. Chacun peut contribuer au projet encyclopédique directement sur le site Larousse.fr. Cela signifie que les internautes peuvent couvrir des champs, par exemple les séries TV américaines, qui ne l'étaient pas jusqu'à présent. Nous n'excluons pas de commander des articles aux meilleurs contributeurs pour l'encyclopédie générale.
Tous les internautes peuvent-ils écrire sur Larousse.fr ? Et comment les textes mis en ligne sont-ils modérés ?

Sur le site, la signalétique des deux types de contenus est claire : orange pour les articles encyclopédiques, violet pour les contributions postées par les internautes. La partie contributive est ouverte à tous. Il suffit de s'inscrire et de s'identifier. Seuls les rédacteurs peuvent corriger leurs contributions, en insérant par exemple des liens vers des sites externes ou vers des articles de l'encyclopédie. Les autres internautes peuvent poster des commentaires sur les textes [sans pouvoir modifier les articles, NDLR]. Il n'y a pas de modération a priori. Mais nous avons un système d'alerte pour les mots sensibles. Et le public peut signaler un abus.
Qui dit mise en ligne, dit aussi nouveau modèle économique, où en êtes vous ?

Il est, disons le mot, évolutif. Rien n'est encore figé pour le moment. Cela pourra passer par de la publicité. Mais aussi par des contenus premium ou des partenariats de contenus. Mais au-delà de cela, l'arrivée sur Larousse.fr de l'encyclopédie contributive va nous permettre de mieux connaître les internautes ainsi que leurs besoins de lecture et de consultation. Tout cela n'est pas neutre, car c'est en partie grâce à ces données que nous pourrons faire évoluer le savoir encyclopédique.
L'encyclopédie contributive Larousse va-t-elle prochainement s'enrichir de nouveaux contenus ?

Nous travaillons aujourd'hui sur un partenariat vidéo avec National Geographic, qui devrait voir le jour d'ici à la fin de l'année. Par ailleurs, nous allons prochainement mettre l'accent sur la dimension communautaire du site Larousse.fr. L'idée est de rassembler les internautes autour de thèmes qui leur sont chers, notamment par des systèmes d'alertes ou d'abonnements à ses auteurs contributeurs préférés.

 



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